Le soutien des trans et homosexuels à la Palestine m’a toujours laissée perplexe. On peut même lire sur certains sites des choses comme « la libération des LGBT+ passe par la libération du peuple palestinien » Pourquoi un tel rapprochement alors que le Hamas en particulier et l’islam en général sont farouchement contre les droits LGBT+ ? Pourquoi un tel rapprochement si contre-nature ?
Voici quelques tentatives d’explications.
Une incapacité à accepter la réalité telle qu’elle est
Les homosexuels et surtout les trans sont des personnes qui ont du mal à accepter ce qui relève de la nature. Ils sont nés avec un sexe, destiné à accomplir une fonction bien particulière, celle de se reproduire. On a le droit de ne pas avoir envie de se reproduire. En revanche, cela me paraît plus compliqué de nier son propre sexe, comme si, finalement, la personne concernée se sentait coupable de ne pas se servir de son sexe pour se reproduire. Du coup, elle s’invente une histoire comme quoi ce n’est pas son vrai sexe, qu’il y a eu une erreur d’assignation, ce qui fait d’elle une victime.
Le Hamas, quant à lui, renie la réalité qui les dérange le plus, à savoir qu’Israël existe. Ils préfèrent se réfugier dans une histoire abracadabrante pour expliquer qu’ils étaient là avant, alors que c’est évident, l’islam n’existait pas encore à l’époque où les Juifs vivaient sur une terre qui correspond à l’actuel Israël. Là, également, un narratif est inventé selon lequel Mahomet, qu’il est interdit de contester, c’est plus pratique, aurait construit la mosquée de Jérusalem avant même l’avènement du judaïsme, et que cette alliance entre Dieu et la lignée d’Ismaël aurait été sciemment occultée. Déjà, on retrouve en puissance le rôle victimaire qui frôle la théorie conspirationniste.
Le manque de responsabilités vis-à-vis des enfants
Finalement, les LGBT+ etc… n’aiment pas la vie. Ok, encore une fois, ne pas vouloir d’enfants peut être entendable dans une certaine mesure. Mais les LGBT+ etc …. érigent ce principe en philosophie. Le monde est trop pourri pour avoir des enfants, le patriarcat sur lequel repose notre société est celui qui encourage la culpabilisation des LGBT+, donc il faut rejeter les bases de cette société. Paradoxalement tout en adoptant les codes puisque le mariage gay est présenté comme l’apogée des droits accordés aux communautés homosexuelles. De ce fait, les LBGT rejettent des idéaux, qu’ils réclament ensuite en se présentant comme des victimes. Idem avec les enfants, on ne veut pas d’enfant, mais finalement, tout le monde a le droit de procréer et d’avoir un enfant, même les hommes peuvent être enceintes s’ils le veulent. On est face à un désir totalement égoïste, qui ne se soucie pas de l’avenir et le bien-être de l’enfant.
Le Hamas, quant à lui, est en plein dans la société patriarcale et dans un monde traditionnel où ce sont les femmes qui tombent enceintes et qui élèvent les enfants. L’objectif est d’avoir le plus d’enfants possibles, dans le meilleur des cas, et, dans le pire des cas, de ne pas se soucier de ce détail. Il s’agit d’assouvir son désir, sans frein, égoïstement, sans se soucier de l’avenir et le bien-être de l’enfant. Les enfants sont nourris au narratif victimaire décrit précédemment et utilisés comme soldats.
Le culte de la mort
Les membres du Hamas préfèrent mourir plutôt que de reconnaître qu’ils ont tort et qu’ils se trompent. Ils préfèrent sacrifier leurs enfants, à qui ils inculquent le culte de la mort, à savoir que c’est mieux de mourir plutôt que de faire allégeance à un juif. Ces enfants meurent pour faire plaisir à leurs parents, ils pensent bien faire, et s’inscrivent donc dans une spirale destructrice.
Les LGBT préfèrent transformer leur corps au lieu d’accepter la réalité et sans se demander s’il y aura des conséquences sur leur corps et celui de leur enfant lorsqu’ils procréent. On se retrouve également dans une spirale destructrice où les hommes trans tombent enceintes au nom de leur droit, et pas au nom de la vie.
L’absence de limites en toute impunité
Le Hamas entretient l’idée que c’est Israël qui a tort quoique fasse Israël. Même lorsque le Hamas fait quelque chose de rédhibitoire, c’est la faute d’Israël. Par exemple, le non-respect du cessez-le-feu. Les retards dans la remise des otages. Les mises en scène et humiliations diverses. Tout cela est justifié selon une rhétorique bien huilée, c’est toujours la faute de l’autre. C’est assez typique des personnes qui n’ont pas eu de limites étant enfants. Et effectivement, dans les sociétés musulmanes, l’absence du père dans l’éducation explique que les enfants soient dans la toute-puissante, donnant lieu à des comportements d’adultes capricieux, qui ont recours au terrorisme pour se faire entendre.
Les LGBT ont recours au même principe. Tout est possible à partir du moment où ils et elles (soyons inclusifs) le décident. Elle veut être un homme ? OK. Il veut être une femme ? OK. Iel ne veut être ni homme ni femme ? OK. Encore une fois, nous sommes face à des adultes qui ont grandi dans la toute puissance enfantine qui la plupart du temps s’est caractérisée par l’absence de père.
En somme, il existe des points communs entre certains traits terroristes et les luttes LGBT, ce qui explique leur confluence sur leur façon de voir le monde. Cette façon de voir le monde s’oppose radicalement au modèle de société mis en valeur par la culture juive et qui insiste sur :
- Le rôle important du père dans l’éducation
- La primauté donnée à la vie sur la mort
- Le concept de responsabilité
- L’apprentissage de la limite
Tout cela explique que dans le monde, l’antisémitisme soit si répandu. En rejetant le juif, les antisémites rejettent également ces aspects fondamentaux pour le judaïsme. Ce n’est pas « juste » la haine du juif, c’est toute une idéologie et une cosmogonie conscientes et inconscientes qui soutiennent l’antisémite dans sa conviction.